jeudi 22 février 2018

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Sur l'origine et la naissance de l'Univers créé par Dieu

« Il semble en vérité que la science d'aujourd'hui, remontant d'un trait des millions de siècles, ait réussi à se faire le témoin de ce Fiat lux [que la Lumière soit] initial, de cet instant où surgit du néant avec la matière un océan de lumière et de radiations, tandis que les particules des éléments chimiques se séparaient et s'assemblaient en millions de galaxies...Ainsi, la création a eu lieu dans le temps : donc il y a un Créateur, donc Dieu existe ! » (Pape Pie XII).

« Selon la tradition judéo-chrétienne, il n'existe pas de meilleure théorie [celle du Big-Bang dont l'initiateur est un abbé Belge du nom de George Lemaître] de l'origine de l'Univers qui puisse correspondre à ce point à la Genèse »
(Robert Wilson - Prix Nobel de physique 1978 - Université de Harvard le 11 avril 2010)

La France Fille aînée de l'Eglise du Christ

« Le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l'Eglise romaine.
Il durera jusqu'à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la foi romaine, mais il sera rudement châtié toutes les fois qu'il sera infidèle à sa vocation » (Evêque Saint Rémi)

« Ce n'est pas en vain, ce n'est pas sans une admirable disposition que la Providence a placé la catholique France aux portes de l'Italie et non loin de Rome, c'est un rempart qu'elle ménageait à elles deux » (Pape Pélage II)

« La France est le Royaume de Dieu même, les ennemis de la France sont les ennemis du Christ. De même qu'autrefois la tribu de Juda reçut d'en-haut une bénédiction toute spéciale parmi les autres fils du patriarche Jacob ; de même le Royaume de France est au-dessus de tous les autres peuples, couronné par Dieu lui-même de prérogatives extraordinaires. La tribu de Juda était la figure anticipée du Royaume de France. La France, pour l'exaltation de la foi catholique affronte les combats du Seigneur en Orient et en Occident. Sous la conduite de ses illustres Monarques, elle abat les ennemis de la liberté de l'Église. De combien de périls le zèle de ses Monarques a délivré l'Église ! Aussi, nous est-il manifeste que le Rédempteur a choisi le béni Royaume de France comme l'exécuteur spécial de Ses divines volontés » (Pape Grégoire IX)

« Fais savoir au fils aîné de mon Sacré-Coeur que comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma Sainte Enfance, de même il obtiendra sa naissance de grâce et de gloire éternelle par la consécration qu'il fera de lui-même à mon Coeur adorable qui veut triompher du sien et, par son entremise, de tous ses ennemis en les abattants à ses pieds pour le rendre triomphant de tous les ennemis de la Sainte Eglise » (Message de Notre Seigneur Jésus à Sainte Marguerite-Marie au Roi Louis XIV)

« La France est toujours bien chère à mon divin Coeur, et elle lui sera consacrée, mais il faut que ce soit le roi lui-même qui consacre sa personne, sa famille et son royaume » (Notre Seigneur Jésus à Mère Marie de Jésus au sujet du Roi Louis XIV)

« Je meurs dans l'union de Sainte Mère l'Eglise Catholique Apostolique et Romaine » (Testament du Roi Louis XVI)

« La France portera toujours des Charlemagne, des Saint Louis et des Louis le Grand ; et ces rois apprendront qu'être roi de France, c'est être vraiment Très chrétien, vrai Fils aîné de l'Eglise, et son protecteur naturel contre les impies » (Jacques-Bénigne Bossuet).

« Vous direz aux Français qu'ils fassent leur trésor des testaments de Saint Rémi, de Charlemagne et de Saint Louis, qui se résument dans ces mots si souvent répétés par l'héroïne d'Orléans : "Vive le Christ qui est Roi de France". A ce titre seulement la France est grande parmi les nations. A cette clause, Dieu la protégera et la fera libre et glorieuse. A cette condition, on pourra lui appliquer ce qui, dans les Livres saints, est dit d'Israël : personne ne s'est rencontré qui insulte ce peuple sauf quand il s'éloigne de Dieu » (Pape Saint Pie X)

« Les Pontifes Romains ont toujours, au cours des siècles, comblé des marques particulières de leur affection paternelle la France, justement appelée la Fille aînée de l'Eglise » (Pape Pie XI)

« A la France d'aujourd'hui, qui l'interroge, la France d'autrefois va répondre en donnant à cette hérédité son vrai nom : la vocation...Les peuples, comme les individus, sont prospèrent ou misérables, rayonnent ou demeurent obscurément stériles, selon qu'ils sont dociles ou rebelles à leur vocation » (Pape Pie XII)

« France, Fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? France, Fille aînée de l'Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l'homme, à l'alliance avec la sagesse éternelle ? » (Pape Jean-Paul II)

« Le premier Roi, le premier souverain de la France c’est Moi, Je suis le Maître de tous les peuples, de tous les royaumes. Je suis particulièrement le Maître de la France. Je lui donne prospérité, grandeur et puissance au-dessus de toutes les nations, quand elle est fidèle à écouter ma voix » (Notre Seigneur Jésus à Sœur Marie Lataste).

« Je voudrais que mes paroles soient connues du Monde entier et surtout en France, ce pays que J'aime beaucoup » (Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Kérizinen).

« Il est vrai que, par le baptême de Clovis, à Reims, la France est devenue la fille aînée de l'Eglise, que Dieu a sauvé Paris par Sainte Geneviève et la France par Sainte Jeanne d'Arc...Il est vrai que le Sacré-Coeur est apparu à Paray-le-Monial et le Vierge Marie en plusieurs points de notre territoire.
Tout cela est vrai comme beaucoup d'autres choses sont vraies qui prouvent le rayonnement doctrinal et spirituel de la France.
Mais si la France a le devoir de clamer son action de grâces, elle a également d'impérieuses raisons de chanter le "Parce Domine" et d'inscrire dans son âme profonde la consigne de Notre-Dame à Bernadette : Pénitence ! Pénitence ! Pénitence...La France officielle a oublié et renié son Dieu...Le Laïcisme est le péché capital de la France et la source de tous ses malheurs...la France ne connaît plus son Dieu. Voilà le grand mal » (Monseigneur Théas).

« Notre pays ne serait pas ce qu'il est s'il n'était d'abord un pays catholique. Les Françaises et les Français religieux, je prends acte de ce que servant Dieu, ils servent aussi notre patrie. Je pense que si Dieu avait voulu que la France mourût, ce serait fait. Il ne l'a pas voulu, elle vit, l'avenir est à elle » (Général Charles de Gaulle).

« J'ai demandé à Dieu qu'il me recouvre de la même force que celle avec laquelle la France a su supporter l'adversité, pour me sentir plus digne d'être comptée parmi ses enfants » (Ingrid Bétancourt).

L'ascendance Davidique des Rois de France

« L'histoire de la France s'inscrit en lettres d'or dans l'histoire du Maître de l'Histoire. Elle a été choisie par Jésus-Christ pour montrer à chaque nation ce que Jésus attend d'elle. Je lui ai donné Ma Sainte Mère, la Bienheureuse Vierge Marie, pour Sainte Patronne. Tous les rois sont chrétiens, nés de la Descendance de David comme Moi-même de par Mon Père Nourricier Saint Joseph » (Notre Seigneur Jésus à Jnsr).

Le Roi David, second roi hébreu, aux alentours de 970 avant Jésus-Christ

Le Grand Monarque

« Je descends pour relever et sauver la France. Dans quelque temps Je lui donnerai un grand Chef, un Roi. Elle connaîtra alors un tel redressement que son influence spirituelle sera prépondérante dans l'Univers » (Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Kérizinen).

« Je vous présenterai ce Roi parfait qui vient mettre l’Ordre et Ma Paix sur la Terre entière, en commençant par le royaume de ses pères, la France. Jamais un homme ne fut plus saint, jamais aucun Saint, à part le Fils de l’Homme Lui-même, ne fut plus Homme que lui. Il est à l’Image du Très-Haut. » (Notre Seigneur Jésus à Jnsr).


La conversion de la France

« La France tombera très bas. Plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu et criera vers Lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier » (Marthe Robin).

« Fille-de-Mon-Eglise, tu es héritière de Mon Royaume ! Je suis venu à toi pour raviver ta dévotion à Mon Sacré Coeur, au travers d'une promesse. Don-de-Mon-Père, jadis gardienne de Mes Intérêts, ne M'oblige pas à dire : "Ma Propriété a été vendue et Elle s'est remplie d'administrateurs, au lieu de permettre à Mon Esprit d'y garder Son siège. Maintenant, Mon siège est gouverné par la chair". Reviens à Moi et corrige à nouveau ton cœur ; repens-toi et reconnais ton péché en présence de Mon Père, et Je répondrai à ton cri de repentir » (Notre Seigneur Jésus à Vassula Ryden).

« Personne ne peut effacer la Parole d’Or de Dieu. Je viens aujourd’hui redonner l’éclat de Vérité à tout ce que les aveugles de chaque Pays, à commencer par la France, ont effacé. La France est chrétienne. Son véritable Chef, c’est Jésus-Christ. Sa Loi, c’est Amour, Justice, Charité. Tout dans le Dieu Unique qui est à tous et à chacun, car Il est Père avant d’être Roi de tout l’Univers » (Notre Seigneur Jésus à Jnsr).


La rechristianisation de la France par la Bretagne

« C'est par la Bretagne, qui m'est restée le plus fidèle, que Je veux rechristianiser la France qui, revenue au Christ, revêtira un caractère tellement religieux qu'elle redeviendra lumière des peuples païens » (Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Kérizinen).

« Que vos familles, vos nations, le monde entier soient consacrés, dans une même consécration, à nos deux Coeurs Unis dans le Saint-Esprit »
La Très Sainte Vierge Marie à Kérizinen le 1 octobre 1955

Ô Marie, Vierge Sainte et Mère Immaculée, Notre Dame du Précieux Sang Offrez au Roi des Cieux le Sang très précieux de l'Adorable Enfant Jésus, votre Divin Fils Contenu dans le Calice où Il se mêlait avec Vos larmes. Que le Sang de Jésus, Brûlant d'Amour nous embrase. Qu'il nous accorde des Prêtres Avec l'esprit de leur vocation.
Ô Notre Dame du Précieux Sang, Rendez les tièdes fervents. Venez en aide aux désespérés. Secourez les agonisants au moment de leur mort en leur rendant la Blancheur de leur Robe Baptismale.
Ô Notre Dame, par le Sang Précieux de Jésus, Secourez les âmes du Purgatoire, Particulièrement le Clergé défunt.
Ô Notre Dame, pour le Salut de tous les Royaumes de la terre, ressuscitez la France. Relevez le Peuple Français Par la Puissance du Saint Esprit. Ô Marie, Reine et Maitresse du Précieux Sang Donnez-nous ce Roi de France Revêtu du Sang du Christ, le Roi de Victoire.
Accueillez, favorablement nos prières Et daignez les exaucer Ô Notre Dame du PRECIEUX SANG ! Amen !


L'instauration du Règne du Sacré-Coeur par la France

Mosaique de la coupole de la Basilique du Sacré-Coeur de Marseille

« De la France mon amour s’étendra dans le monde. Je me servirai de la France pour étendre partout le règne de mon amour. Surtout, prie pour les prêtres de France car c’est par eux que j’affermirai en ce pays le "règne de mon Amour". Mon enfant, j’aime beaucoup la France. Mon enfant, le règne de mon amour une fois libéré en France, je me servirai de ce pays pour étendre ce règne à tout l’univers » (Notre Seigneur Jésus à Marcel Van).
« Le relèvement de la France est l'Oeuvre de Dieu. Je Suis le Maître Orfèvre de cette Oeuvre...Il y a ceux qui ont été missionnés tout spécialement pour cette Oeuvre. Ils obtiennent, à genoux au pied du trône de Dieu, les Grâces très spéciales de la Sainte Trinité et de Marie Reine de France, indispensables au Relèvement de la France, la Fille aînée de l'Eglise. Leur mission de Baptême est aussi leur mission Céleste : Servir Dieu en ramenant la France aux pieds du Christ Roi. La France doit servir et protéger l'Eglise. Le Ciel entier se penche sur vous et vous supplie de vous lever pour servir Dieu et votre Patrie. Dieu le Père vous a placé en France. Levez-vous pour la France...La terre de France, reste une terre de martyrs, de martyre d'Amour pour Le Dieu d'Amour ! Lorsque la France se relèvera, alors le monde suivra...Mon Eglise triomphera ! Je Suis le Dieu Unique, le Dieu de l'Unité. Personne ne doit se sentir exclu. Chacun est invité à se donner, selon son coeur, selon sa Liberté d'Enfant de Dieu. Je suis le Sacré-Coeur uni au Coeur Immaculé de Ma Sainte Mère » (Notre Seigneur Jésus à Virginie).


Sur le mystère ineffable de notre Très Sainte Maman du Ciel

A cause de son amour et de son obéissance pour Dieu et sa Divine Conception Immaculée, la perle précieuse est en Marie à laquelle le Créateur de toutes choses donne la première place, avant Lui-même

« Le Rédempteur se devait, par la force, d’associer sa Mère à son œuvre. C’est pour cela que nous l’invoquons sous le titre de Corédemptrice » (Pape Pie XI).

« La Bienheureuse Vierge Marie a été indissolublement unie au Christ dans l’œuvre de la Rédemption humaine, afin que notre salut vienne de l’amour de Jésus-Christ et de Ses souffrances intimement unis à l’amour et aux douleurs de Sa Mère » (Pape Pie XII).

« Cette union de la Mère avec son Fils dans l'œuvre de la rédemption atteint son sommet sur le Calvaire, où le Christ "s'offrit lui-même sans tache à Dieu" (Cf. He 9,14) et où Marie se tint auprès de la Croix (Cf. Jn 19,25) "souffrant cruellement avec son Fils unique, associée d'un cœur maternel à son sacrifice, donnant à l'immolation de la victime, née de sa chair, le consentement de son amour" et l'offrant, elle aussi, au Père éternel » (Pape Paul VI).

« Marie, la Femme qui a été associée de manière unique à l’œuvre de réconciliation de l’humanité avec Dieu. Selon le plan du Père, le Christ devait accomplir cette œuvre au moyen de son sacrifice : toutefois une Femme devait lui être associée, la Vierge Immaculée qui se montre ainsi sous nos yeux comme le plus haut modèle de la coopération à l’œuvre du salut » (Pape Jean-Paul II).

« Le "oui" de l’Annonciation ne constitue pas seulement l’acceptation de la maternité proposée ; elle signifie aussi et surtout l‘engagement de Marie au service du Mystère de la Rédemption. La rédemption fut l’œuvre de son Fils ; Marie s’y associa à un niveau subordonné. Sa participation fut toutefois réelle et importante. En donnant son consentement au message de l’Ange, Marie accepta de collaborer à toute l’œuvre de réconciliation de l’humanité avec Dieu, comme son Fils allait effectivement la réaliser » (Pape Jean-Paul II).

« Engagée par le "oui" de l’Annonciation et disposée à aller jusqu’au fond du don fait d’elle-même à l’œuvre du salut, Marie ne recula pas devant la perspective de la grande souffrance qui lui était annoncée » (Pape Jean-Paul II).

« L’orientation vers le sacrifice rédempteur domina toute la vie maternelle de Marie. Différente en cela des autres mères qui ne peuvent connaître d’avance les douleurs qui leur viendront des fils, Marie savait déjà, dès les premiers jours que sa maternité la conduirait sur la voie d’une épreuve suprême. Pour elle, la participation au drame du rédempteur fut le terme d’un long chemin » (Pape Jean-Paul II).

« Le Père voulait que Marie, appelée à la plus entière coopération au mystère de la rédemption, fut intégralement associée au sacrifice, partageant toutes les douleurs du Crucifié, unissant sa propre volonté à la sienne dans le désir de sauver le monde » (Pape Jean-Paul II).

« Remerciant Marie pour sa coopération à l’œuvre rédemptrice nous ne pouvons manquer de demander son aide maternelle pour que nous puissions à notre tour suivre le chemin de la Croix et obtenir une vie plus féconde par l’offrande de nos souffrances » (Pape Jean-Paul II).

« Qui, plus que sa Mère, appartient au Christ ? Qui, plus qu’Elle, a été rachetée par lui ? Qui a coopéré à sa Rédemption de plus près qu’elle ne l’a fait elle-même par son "Fiat" à l’Annonciation, et par son "Fiat" au pied de la Croix ? » (Pape Jean-Paul II).

« En elle, les souffrances innombrables et intenses s'accumulèrent avec une telle cohésion et un tel enchaînement que, tout en montrant sa foi inébranlable, elles contribuèrent à la rédemption de tous » (Pape Jean-Paul II).

« Sa montée au Calvaire, sa "présence" au pied de la Croix avec le disciple bien-aimé ont été une participation tout à fait spéciale à la mort rédemptrice de son Fils » (Pape Jean-Paul II).

« Marie la Très Sainte a apporté une contribution singulière à l'Evangile de la souffrance, et elle a réalisé avant l'heure ce qu'affirmait saint Paul dans les paroles citées au début de ces pages. Oui, vraiment, à des titres tout à fait spéciaux, Elle peut affirmer qu'elle "complète en sa chair - comme elle l'a déjà fait dans son cœur - ce qui manque aux épreuves du Christ" » (Pape Jean-Paul II).

« Le divin Rédempteur veut pénétrer dans l'âme de toute personne qui souffre par l'intermédiaire du Coeur de sa très sainte Mère, prémices et sommet de tous les rachetés. Comme pour prolonger cette maternité dont il avait reçu la vie par l'œuvre du Saint-Esprit, le Christ, au moment de mourir, a conféré à Marie toujours Vierge une maternité nouvelle - spirituelle et universelle - à l'égard de tous les hommes » (Pape Jean-Paul II).

« Le sommet de ce pèlerinage terrestre dans la foi est le Golgotha, où Marie vit intimement le mystère pascal de son Fils : elle meurt, dans un certain sens, comme mère dans la mort de son Fils et s'ouvre à la "résurrection" avec une nouvelle maternité à l'égard de l'Eglise  (Cf. Jn 19,25-27). Là, sur le Calvaire, Marie fait l'expérience de la nuit de la foi, semblable à celle d'Abraham sur le mont Moria et, après l'illumination de la Pentecôte, elle continue à pérégriner dans la foi jusqu'à l'Assomption lorsque son Fils l'accueille dans la béatitude éternelle » (Pape Jean-Paul II).

« Invoquons la plénitude des dons de Pâques, par l’intercession de Marie qui, après avoir partagé les souffrances de la Passion et de la Crucifixion de son Fils innocent, a aussi fait l’expérience de la joie inexprimable de sa résurrection » (Pape Benoît XVI).

« La discrétion de Marie nous empêche de mesurer l'abîme de sa douleur ; la profondeur de cette affliction est seulement suggérée par le symbole traditionnel des sept glaives.Comme pour son Fils Jésus, il est possible de dire que cette souffrance l'a conduite elle aussi à sa perfection (Cf. He 2,10), pour la rendre capable d'accueillir la nouvelle mission spirituelle que son Fils lui confie juste avant de « remettre l'esprit » (Cf. Jn 19,30): devenir la mère du Christ en ses membres. En cette heure, à travers la figure du disciple bien-aimé, Jésus présente chacun de ses disciples à sa Mère en lui disant : "Voici ton Fils" (Cf. Jn 19,26-27) » (Pape Benoît XVI).

« Marie, la mère de Jésus, est associée avec beaucoup d’intimité à ce travail de rédemption de Notre Seigneur, à travers l’Incarnation, la Passion et la Crucifixion. C’est ainsi à juste titre que nous pouvons l’appeler la "Co-rédemptrice", la Médiatrice de la grâce » (Des actes de la Congrégation pour le Clergé).

« On peut bien dire, en effet, qu'un glaive a percé votre âme, ô heureuse mère, car ce n'est qu'en passant par votre cœur qu'il pouvait pénétrer dans la chair de votre Fils » (Saint Bernard de Clairvaux).

« La Sainte Vierge, en un seul mot, peut dire et faire comprendre de quoi écrire pendant cent ans ». (Mélanie Calvat témoin des apparitions de La Salette).

« Je me tiens ici en tant que Corédemptrice et Avocate. Toutes les pensées vont se porter sur cela. Répète après moi : le nouveau dogme sera le dogme de la Corédemptrice. Je mets tout particulièrement l’accent sur le “co” » (La Dame de tous les Peuples à Amsterdam).

« Corédemptrice ! La Dame, la Mère a souffert avec Lui les douleurs, tant spirituelles que physiques. Elle L’a toujours précédé. Dès le moment où le Père l’a élue, elle a été la Corédemptrice en union au Rédempteur qui, en tant que Dieu-Homme, est venu dans le monde » (La Dame de tous les Peuples à Amsterdam).

« Je viens en ce temps comme la Corédemptrice, Médiatrice. Corédemptrice, je l’étais déjà lors de l’Annonciation. Cela signifie : la Mère a été faite Corédemptrice de par la volonté du Père » (La Dame de tous les Peuples à Amsterdam).

« Il nous est difficile de comprendre que l'Immaculée est comme "l'incarnation" de l'Esprit-Saint » (Saint Maximilien Kolbe).

« Tout ce qui convient à Dieu par nature, convient à Marie par grâce » (Saint Louis- Marie Grignon de Montfort).

L'ensemble de ces citations sont toutes extraites de la présente étude.


Frise historique de l'histoire de France à travers ses Saints

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