La Genèse prouvée par l’ADN : Adam, Eve et Noë sont vraiment nos ancêtres
5 L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. 6 L’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur. 7 Et l’Éternel dit : J’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel; car je me repens de les avoir faits.
8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l’Éternel.
Livre de la Genèse, chapitre 6
Notions basiques sur l’ADN-Y et l’ADN Mitochondrial
Chromosome Y (ADN-Y) :
Les chromosomes sexuels sont nommés X et Y. Les mâles ont deux
chromosomes sexuels distincts (X et Y) et les femelles en ont deux
identiques (X et X). Ainsi, le chromosome Y n’est transmis que de père
en fils.
ADN Mitochondrial (ADNmt) :
les Mitochondries sont de petits compartiments à l’intérieur de chacune
de nos cellules où sont situés les composants produisant l’énergie de
la cellule. Ils ont leur propre brin séparé d’ADN (séparé de l’ADN
principal/nucléaire/chromosomique) appelé ADN mitochondrial (ANDmt).
Puisque seules les mitochondries contenues dans l’œuf fécondé sont
utilisées lors de la conception, l’ADNmt n’est hérité que de la mère,
seules les femmes le transmettent.
Lorsque l’ADN (qui contient les
chromosomes sexuels) et l’ADN mitochondrial sont transmis à la
progéniture, des mutations se produisent. L’ADN reçoit plus de 100
mutations par génération tandis que l’ADNmt en reçoit beaucoup moins
(l’ADNmt étant beaucoup plus petit que le reste de l’ADN transmis –
environ 16 000 paires de bases pour l’ADNmt contre environ 3 milliards
de paires de bases pour l’ADN). En raison de ces mutations, l’ADN-Y et
l’ADNmt ont lentement divergé et se sont dégradés par rapport à l’ADN de
nos premiers ancêtres.
Rappel :
ADN-Y: Père -> fils
ADNmt: Mère -> tous les enfants
ADNmt: Mère -> tous les enfants
Prouver le Déluge
Pour
commencer, le premier livre de la Bible (Genèse) a été écrit il y a
près de 3500 ans (vers 1400 av. J.-C.) par Moïse. Il y a de très bonnes
preuves pour soutenir cela. L’hypothèse qui nie que Moïse ait été
l’écrivain et par conséquent datant le Livre vers 600 av. J.-C., n’a
aucune preuve historique pour l’étayer (comme expliqué ici).
La Genèse déclare que huit personnes étaient sur l’Arche : Noé et sa femme, leurs trois fils et leurs trois femmes. Alors :
1. Il devrait y
avoir des preuves démontrant une décroissance démographique dans
laquelle l’humanité aurait presque entièrement disparue.
> Le projet sur le génome humain
a été achevé en avril 2003. L’un de ses résultats était que tous les
humains ont un ADN pratiquement identique. Il a été suggéré que cela est
dû à une réduction drastique de la population dans notre passé, où
notre nombre a diminué si bas que nous étions au bord de l’extinction.
2. Puisque les seuls
mâles à bord de l’Arche de Noë étaient Noë et ses fils, un seul ADN-Y
devait s’y trouver. Donc, il ne devrait y avoir qu’une seule lignée de
chromosomes-Y aujourd’hui.
>L’ADN-Y
est en effet similaires dans le monde entier. Aucune lignée Y divergente
n’a été trouvée. Par conséquent, les évolutionnistes reconnaissent un
ancêtre commun paternel, l’appelant Adam Y-chromosomique.
3. Puisque la Bible
ne mentionne pas qu’Emzara, épouse de Noë aura eu d’autres enfants après
le Déluge, seulement 3 ADNmt ont du survivre au Déluge, ceux des 3
femmes des fils de Noë. Donc, il devrait y avoir trois lignées ADNmt
aujourd’hui.
>Il
existe en effet trois lignées d’ADNmt principales aujourd’hui dans le
monde. Les évolutionnistes ont étiqueté ces lignes « M », « N » et
« R ». Il y a peu de différence entre ces trois lignées d’ADN
mitochondrial, elles doivent donc provenir d’une seule femelle, qui a
vécu peu de temps avant la quasi-extinction de l’humanité, les
évolutionnistes l’appellent Eve mitochondriale.
De plus, étant donné que les humains ont
pratiquement l’ADN identique, la diversité génétique correspond à des
milliers d’années et non à des millions d’années.
En résumé, des études génétiques
récentes révèlent une seule lignée de chromosomes Y, trois lignées
d’ADN mitochondrial très similaires, et l’ensemble de la race humaine
ayant un ADN proche correspond bien au récit du Déluge (et d’Adam &
Eve).
Preuve du Déluge par l’ADN Mitochondrial (femelle)
Voici une source de preuve
pour les trois lignées d’ADN mitochondrial, qui vous surprendra
probablement pour deux raisons: 1) Elle provient de scientifiques
évolutionnistes, et 2) elle démontre aisément le scénario biblique.
Il suffit de regarder l’arborescence de
la perspective de lignage après les paragraphes d’introduction, disposé
chronologiquement de gauche à droite. Au sommet, vous voyez l’Eve
Mitochondriale appelée L. Vous pouvez clairement voir les trois lignées
principales qui apparaissent plus bas – « M », « N », et « R », qui ont
toutes leurs propres descendance en dessous et dont les différences
génétiques proviennent des mutations transmises à travers les
générations).
Fait intéressant, « R » est sous « N »,
ce qui pourrait signifier que deux des trois femmes de l’Arche étaient
apparentées (peut-être des cousines).
Preuve du Déluge de Noé par l’ADN-Y (mâle)
Voici ce qu’on trouve sur Wikipédia à propos de l’Adam chromosomique :
En génétique humaine, le plus récent ancêtre patrilinéaire commun, aussi nommé Adam Y-chromosomique, est le nom donné à l’homme qui serait le dernier ancêtre agnatique (en ligne paternelle exclusive) commun à tous les êtres humains actuels.Toujours selon cet article Wikipedia, des études récentes rapportent que l’Adam chromosomique Y a vécu il y a environ 142 000 ans. Des études plus anciennes ont estimé Y-MRCA aussi récent qu’il y a 60 000 ans.
« L’Adam-chromosomique est nommé d’après l’Adam biblique. Cela peut mener à croire à tort qu’il était le seul homme vivant à son époque, même s’il coexistait avec d’autres hommes, y compris, peut-être, avec son propre père qui n’était pas le «plus récent». Cependant, contrairement à lui-même et à sa lignée paternelle, chacun de ses contemporains mâles n’a pas réussi à produire une ligne masculine directe et ininterrompue jusqu’à tous les mâles vivant aujourd’hui ».
Autrement dit : Adam n’est
peut-être pas le seul homme à être apparu à son époque mais il est en
tout cas le seul dont la descendance a survécu jusqu’à ce jour. Ainsi
les scientifiques évolutionnistes sont bien forcés d’admettre, en accord
avec la Bible, que nous descendons tous d’un même ancêtre.
Ce que les évolutionnistes font de ces données
Les explications évolutionnistes pour
les données ci-dessus sont contradictoires et déroutantes, c’est le
moins qu’on puisse dire. Selon les gènes qu’ils utilisent dans leur
recherche, différentes quasi-extinction de l’humanité sont proposées,
sur une période entre 200 000 à 60 000 ans.
Par souci de simplicité, voici un résumé général de ce qui est communément admis par les évolutionnistes :
1. Une baisse
démographique subite prouve que l’humanité a presque disparu, (il y a
entre 60 000 et 200 000 ans, selon leurs estimations) La population
serait descendue entre 1 000 et 10 000 habitants.
2. Même si beaucoup de femmes sont comprises dans cette population, seule la lignée de l’une d’entre elles (surnommée « Eve mitochondriale ») a survécu. Toutes les autres lignées d’ADN mitochondrial ont disparues.
3. De la même manière, une seule lignée de chromosomes-Y a survécu à partir d’un seul mâle (surnommé Adam chromosomique Y). Toutes les autres lignées Y ont disparues.
Donc les évolutionnistes
admettent que nous descendons tous d’un «Adam» et d’une «Eve» !
Seulement, ils manipulent ces données pour que chronologiquement cela ne
corresponde pas au récit Biblique mais à la théorie de l’évolution.
Comment les évolutionnistes établissent la chronologie de l’histoire humaine
Si les évolutionnistes parlent de
dizaines à des centaines de milliers d’années, voire des millions
d’années d’histoire humaine – comment cela pourrait-il être seulement
quelques milliers d’années à la place, comme le pensent les
créationnistes ?
C’est simple : les évolutionnistes
basent leurs datations sur des hypothèses évolutives. Ils supposent que
l’évolution est vraie pour commencer, et ils supposent donc que les
fossiles archivés représentent des millions à des milliards d’années
d’histoire – bactéries évoluant en vers, poissons, amphibiens, reptiles,
oiseaux et mammifères, primates jusqu’à nous. Avec cette chronologie à
l’esprit, ils calibrent toutes leurs estimations de manière à s’y
adapter.
Ils utilisent un concept appelé Horloge
Moléculaire – selon lequel un taux fixe de mutations par an survient
dans n’importe quelle population. Comment estiment-ils ce taux ? Ils le
calculent en utilisant des hypothèses évolutionnistes comme je l’ai
mentionné ci-dessus – en fonction de leur interprétation de
l’enregistrement fossile.
Par exemple. ils croient que les humains
et les babouins ont partagé un ancêtre commun « x » il y a des années,
donc ils regardent l’ADNmt humain et l’ADNmt du babouin, et obtiennent
le nombre de différences entre les deux, qui est « y ». Ensuite, le taux
de mutation par année serait y/x. Ce type de logique a donné lieu à des
estimations selon lesquelles l’«Ève mitochondriale» a vécu entre 70 000
et 800 000 ans.
Comme vous pouvez le voir, les horloges
moléculaires sont dérivées de l’hypothèse que l’évolution est vraie et
que nous sommes liés aux babouins/chimpanzés. Et c’est la seule «unité de mesure» permettant l’estimation chronologique de l’âge de l’humanité !
L’escroquerie du Paléolithique
Comme l’étude des ADN respectifs de
l’homme et du babouin démontrent, à mesure qu’elles progressent,
l’étendue du gigantesque fossé génétique qui nous sépare, la période de
l’évolution du singe jusqu’à l’homme ne cesse d’augmenter en
conséquence. C’est toute l’histoire de l’humanité qui ne cesse de
s’étendre en durée. Les pseudo-scientifiques évolutionnistes en arrivent
à prétendre que 2 500 000 d’années se seraient écoulées, entre
l’apparition de l’humain et le moment où celui-ci aurait «évolué» du
Paléolithique au Néolithique, c’est à dire des centaines de milliers
d’années voire des millions pour que l’homme se mette à polir les
pierres pour en faire des outils plus adaptés !
Le Néolithique, âge de la Nouvelle Pierre, par opposition au
Paléolithique, âge de l’Ancienne Pierre, auquel il succède, coïncidant
avec la sédentarisation de l’homme et l’apparition de l’agriculture.
2 500 000 années pour passer de ça …
… à ça !
Avec leur chronologie à l’esprit, les archives fossiles représentent des
millions d’années d’événements catastrophiques distincts (inondations
locales, extinctions, flux volcaniques, tremblements de terre, etc.),
alors que selon le modèle créationniste, la plupart de ces événements se
sont produits pendant et après le Déluge.
Toujours est-il que rien,
scientifiquement parlant, ne contredit le récit de la Genèse. Si l’on
excepte les élucubrations de scientifiques tarés, cherchant à démontrer,
coûte-que-coûte, que des millions d’années d’évolution nous séparent du
singe.
Une nouvelle analyse prouve la jeunesse du génome humain
Un article paru en janvier 2013, “Analysis of 6,515 exomes reveals the recent origin of most human protein-coding variants”, met à mal l’idée d’une humanité vieille de centaines de milliers d’ânnées (voire de millions !) :
« Des études à grande échelle de la variation génétique humaine ont rapporté des signatures de croissance démographique explosive récente, remarquable pour un excès de variantes génétiques rares, ce qui suggère que de nombreuses mutations sont survenues récemment »« Nous estimons qu’environ 73% de toutes les SNV (Single Nucleotide Variant=mutation) pour les protéines et environ 86% des SNV dégénératives sont apparues au cours des 5 000-10 000 dernières années »
Ce que cela signifie essentiellement, c’est que la plupart des mutations chez les humains se sont produites au cours des 5 000 à 10 000 dernières années.
Évidemment, les évolutionnistes ne s’attendaient pas à cela, car ils
croient que les humains existent depuis 200 000 à des millions d’années.
Si l’on doit croire à l’évolution, alors
il faut croire que pendant des centaines de milliers d’années (ou
quelques millions d’années), l’ADN humain n’a pratiquement pas subi de
mutations, et que par contre, au cours des derniers milliers d’années,
la plupart des dégradations héréditaires se sont produites. Difficile à
croire, il semble plus logique d’en déduire tout simplement que
l’humanité n’est pas plus vieille que de seulement quelques milliers
d’années, comme l’affirme la Bible.
Selon l’Horloge Moléculaire chère aux
évolutionnistes, il existe un taux fixe de mutations par an qu’ils
appliquent à nos ancêtres supposés, les singes, pour établir que
l’humanité est vieille de dizaine, de centaine ou de millions d’années.
Une horloge moléculaire à présent bonne pour la poubelle.
Déclin de la durée de vie humaine depuis les descendants de Noë
La durée de vie des descendants de Noé
depuis le Déluge (il y a environ 4 500 ans) diminue exponentiellement.
Noé a vécu 950 ans, son fils Shem 600, puis Arphaxad 438, Shelah 433,
Eber 464, Peleg 230, Reu 239, Serug 230, Nahor 148, Terah 205, Abraham
175, et ainsi de suite. Sur un graphique, il s’agit d’un modèle de
décroissance exponentielle (voir ci-dessous). Cela ressemble beaucoup à
de nombreux modèles de désintégration observés en biologie appelés courbes de décroissance biologiques.
Adam et Eve ont été créés avec des
génomes parfaits, qui ont dégénéré depuis lors en raison de mutations
dégénératives constantes (prouvé par l’étude récente mentionnée
ci-dessus). On peut supposer que la baisse de l’aptitude du génome
aurait entraîné une baisse de l’espérance de vie.
La diversité humaine d’aujourd’hui peut-elle provenir de seulement trois couples ?
Ceci est un autre argument commun contre
l’historicité du Déluge, et est faite sans considérer que les humains
ont été créés avec des génomes parfaits, riches en diversité génétique.
Les trois couples de l’Arche avaient beaucoup plus d’informations
génétiques que nous n’en avons aujourd’hui. Pour preuve, ne cherchez pas
plus loin que les chiens domestiques : toutes les races de chiens
descendent du loup, qui avait toutes les informations génétiques pour
toutes les races de chiens d’aujourd’hui dans son génome. Grâce à la
sélection génétique et à la sélection artificielle, l’information a été
perdue, redistribuée et concentrée. Du Chihuahua au Caniche en passant
par le Dogue Allemand – tous ces traits étaient dans l’ancêtre loup,
comme tous les traits dans les humains étaient déjà dans les génomes
d’Adam et Eve. (D’ailleurs, l’évolution ne peut pas expliquer pourquoi
les loups avaient toute cette diversité génétique en premier lieu, mais
la création le peut).
Le modèle créationniste explique clairement d’où vient la diversité génétique de toutes les plantes, animaux et humains.
En résumé
-Tous les humains
ont aujourd’hui un ADN très proche, ce qui indique une origine commune
récente de la population mondiale. Une nouvelle étude génétique publiée
en janvier 2013 a révélé une « croissance démographique explosive
récente », « suggérant que de nombreuses mutations sont survenues
récemment […] au cours des 5 000 à 10 000 dernières années ». Ce qui
correspond au repeuplement de la Terre par les survivants du Déluge,
plutôt que sur la période évolutive de plus de 70 000 ans, sinon il n’y
aurait eu pratiquement aucune mutation pendant au moins 60 000 ans, puis
soudainement presque toutes les mutations seraient survenues. En
contradiction totale avec la théorie de l’Horloge Moléculaire.
-Les chromosomes Y
chez tous les humains dans le monde sont très semblables, ce qui indique
un seul ancêtre mâle récent – correspondant à Noé, et avant lui, l’Adam
biblique.
-Il y a trois
lignées d’ADN mitochondrial, qui correspondent parfaitement à l’histoire
biblique des trois femmes de l’Arche qui ont repeuplé la Terre.
-Ces trois lignées
d’ADN mitochondrial sont très similaires, indiquant qu’ils ont divergé
d’un seul ancêtre femelle ayant un à deux mille ans avant le Déluge.
L’ADN mitochondrial d’Eve aurait divergé à travers les descendants d’Eve
pendant environ 1500 ans (~ 75 générations), seulement trois
descendantes ayant survécu au Déluge.
-La durée de vie des
descendants de Noé diminue de façon exponentielle – sur un graphique,
c’est une courbe de décroissance biologique.
-Les humains ont un
taux de mutation élevé, transmettant plus de 100 mutations par
génération. Ce qui correspond à une histoire humaine de milliers, non de
millions, d’années.
-Si nous descendions
de grands singes depuis des millions d’années, notre ADN aurait
largement plus divergé (1 million d’années = ~ 50 000 générations).
Puisque tous les humains ont aujourd’hui un ADN très proche, les
évolutionnistes ont dû fournir une explication à cela: l’humanité a été
très proche de l’extinction, admettant ainsi que la Bible avait raison
sur ce point.
L’un des
principes de base de la science est le naturalisme. Cela signifie que
les causes surnaturelles doivent être exclues en tant qu’explications
scientifiques. Toutes les explications scientifiques proposées doivent
être testables et répétables, et obéir à des lois physiques. Les
scientifiques ne peuvent tout simplement pas expliquer un événement en
invoquant une intervention divine.
En bref, même si la
preuve indique des causes surnaturelles correspondant au récit biblique,
ils ne seront pas en mesure de tirer cette conclusion. Ils trouveront
la meilleure explication « naturelle » et fonctionneront avec cela,
aussi improbable soit-elle et peu importe le nombre de questions restées
sans réponse. Certains pourraient dire que si les scientifiques n’ont
droit qu’à des explications «naturelles», alors ils ne cherchent pas à
démontrer la vérité; mais plutôt une explication naturelle, même lorsque
elle est impossible.
Conclusion
Premièrement, si la preuve du déluge de
Noé est vraie, alors les déductions semblent s’imposer : la Saint Bible
dit vrai et la réalité du jugement de Dieu par le Déluge dans le passé
est un avertissement du jugement à venir, par le feu :
« Sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant: Où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création. Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau, et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau, tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies ».
Second Épître de Saint Pierre 3,3-7
Le Déluge était aussi symbolique pour le
salut que nous sommes offerts aujourd’hui. Noé avait foi en l’imminence
du Jugement de Dieu et obéissait à Ses Instructions. Il lui a fallu 120
ans pour construire l’Arche, et pendant tout ce temps les moqueurs ont
refusé de croire que le Jugement viendrait. Juste avant le début du
Déluge, Dieu ferma la porte de l’Arche (Genèse 7:16 « … Puis le Seigneur
l’enferma. ») – Noé n’avait pas à fermer la porte au salut de quiconque
; Dieu le fit. La porte a été laissée ouverte jusqu’à la dernière
minute possible, mais le jour du salut doit prendre fin. Il n’y avait
pas de seconde chance pour ceux qui étaient exclus.
Deuxièmement, encore une fois, si ce qui
précède est vrai alors l’évolution est fausse – les fossiles archivés
ne sont pas un enregistrement d’organismes se transformant en d’autres
organismes sur des millions et des milliards d’années. Les différents
fossiles se sont entassés lors du Déluge, un événement cataclysmique
soudain. L’ordre des fossiles est ce que vous attendez de la montée des
eaux – les premiers habitants de l’océan, par ex. des trilobites, puis
des poissons, des amphibiens, des animaux terrestres plus petits et plus
(et les mammifères, etc., flotteraient en premier). Rappelez-vous, les
os fossilisés ne peuvent pas être datés. Ils sont datés d’où ils se
trouvent dans la propre échelle temporelle supposée de l’évolutionniste,
c’est-à-dire la colonne géologique. Notez également que plus de 95% de
tous les fossiles sont des créatures marines, telles que les palourdes,
les coraux et les trilobites. La plupart des 5% restants sont des
plantes, et seulement beaucoup moins de 1% de tous les fossiles sont des
animaux terrestres (reptiles (y compris les dinosaures), amphibiens,
mammifères, oiseaux et humains).
Troisièmement, encore une fois, cela
signifie que la Bible est vraie et digne de confiance. Si tel est le
cas, alors le cœur du christianisme – l’histoire de Jésus – est vrai.
Son histoire telle qu’elle est enregistrée dans la Bible est également
exacte. De l’accomplissement de plus de 400 prophéties spécifiques
écrites dans l’Ancien Testament jusqu’à mille ans avant sa naissance,
jusqu’à sa résurrection attestée par plus de 500 témoins, comme l’a noté
Saint Paul.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ».
Évangile selon Saint Jean, chapitre 3,16
Source : astirinch.com
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